Les membres de la communauté qu’un enfant ou un jeune connaît (aussi parfois appelés « kith » en anglais) peuvent être d’excellentes personnes principalement responsables lorsque les enfants et les jeunes ne peuvent pas vivre avec leur famille. Mais les recherches montrent que les actes de soutien occasionnels et informels ont aussi un impact positif puissant sur les enfants et les jeunes qui ne peuvent pas vivre avec leur famille. Une étude de recherche a mesuré les effets du soutien informel comme les visites, les appels téléphoniques et le tutorat pour les enfants et les jeunes pris en charge et, en se fondant sur des résultats positifs, elle revendique un « changement dans les pratiques actuelles du bien-être de l’enfance parce que l’engagement de la famille élargie non gardienne et des proches fictifs (aussi appelés membres de la communauté) n’est pas une priorité dans le domaine. »
*Le personnel des SAE a accès à de nombreux articles de revues spécialisées mentionnés dans cet article, grâce à leur abonnement à la base de données de la bibliothèque de l’AOSAE. Veuillez communiquer avec Brynn Clarke pour obtenir plus d’information à ce sujet. La source principale de cet article était : Leon, S. C. et Dickson, D. A. (2019). « The Impact of Kinship Networks on Foster Care Children’s Outcomes. » Family Relations, 68(2), 169‑184. https://doi.org/10.1111/fare.12340